samedi 31 août 2013

On bricole encore !

Un très vilain mur...
Après la clôture de séparation entre le voisin et nous, le travail suivant a consisté à habiller un mur en parpaing très vilain avec des lames rainurées.

Quelques difficultés de terrain qui demandent des solutions originales


Une fois les aspects techniques résolus (le mur est en deux parties non parallèles) pour les supports, la fixation des lames est assez simple et grandement facilitée par l'utilisation de la nouvelle perceuse.

Posées les lames sont couvertes d'un saturateur couleur Teck ce qui donne l'illusion d'un bois précieux et doit surtout augmenter la durée de vie de l'ensemble.


Avant le saturateur.

Prochain travail : le mur de séparation entre le jardin et la rue, une autre paire de manche !

"C'est bon, t'as bien bossé, tu peux enchaîner avec le mur sur la rue..." indique l'ingénieur des travaux finis.

samedi 17 août 2013

On bricole.

Objectif : monter une séparation entre le voisin et nous.

Après des mois d'hésitation, la première compagnie s'est enfin décidé. La matériel commandé puis livré par Leroy-Merlin, il n'avait  plus qu'à s'y mettre.
72 lames livrées
Le travail est divisé en trois parties inégales et en vertu de l'excellente loi de la gestion du temps, il faut commencer par le plus simple et rapide.
Cette  première étape consiste à monter une séparation entre le voisin et nous même. Le choix a été de reprendre la solution adoptée  pour la  partie arrière de notre maison. Cinq  poteaux sont montés qui vont servir de supports aux lames. 


L'expérience aidant, le we et jour férié auront suffi à achever le travail. La  perceuse à rendu l'âme le quinze août en mode visseuse et il a fallu finir à la main. L'ensemble est  presque  parfaitement de niveau. Le résultat  plait à la  propriétaire et c'est bien là l'essentiel. Reste à choisir et placer un éclairage solaire.




3 niveaux...
L'ingénieur des travaux finis



9 niveaux...

Derrière

Devant

Du bon travail !


jeudi 15 août 2013

Randonnée à La Réunion : Aurère

Les mois de juillet et août sont propices à la randonnée. C'est l'hiver tropical : les températures sont douces et il pleut beaucoup moins ; les chemins sont secs.
Raoul, son correspondant australien et la première compagnie sont allés dans le cirque de Mafate. Une nuit dans un gîte à Aurère fut réservée.
La route forestière menant à la plaine d'affouche

Curieux ou inquiet ?
Raoul et Jacques
La randonnée débute au kilomètre 11 de la route forestière de la plaine d'Affouche. Bravant l'interdiction de poursuivre, le trio empruntent la route plutôt que le sentier vers le Piton Fougères. Le danger vient des hauteurs d'où peuvent tomber cailloux, rochers ou blocs de pierre. La vue sur la rivière de Saint Denis, encaissée plusieurs centaines de mètres plus bas et au loin le chef lieu et la mer enrichissent un panorama à plusieurs dimensions. Après quelques hectomètres, la paroi s'adoucit et il n'y a plus de crainte à avoir. La piste serpente dans une forêt de sapins.

La plaine d'Affouche
Elle rejoint un sentier menant de l'îlet à Guillaume vers le GR2. Nous arrivons au fond de la ravine qui est un demi cirque d'où jailli sans doute la source de la rivière. Au croisement avec le GR, nous rencontrons nos premiers humains. Ce chemin est une autoroute, emprunté en ce matin de fin de semaine de juillet par des dizaines de raideurs et raideuses en préparation d'une des trois courses qui ont lieu au mois d'octobre (Grand Raid, Trail de Bourbon ou Mascareignes).

Nous sommes sur une corniche; de part et d'autre, le vide. A gauche, le cirque de Mafate et de l'autre Dos d’Âne puis au loin les villes du littoral nord ouest. Nous déjeunons, arrivés à Dos d'âne.

Mafate
Le grand Bénare
Le Port
Dos d’Âne






















L'australien boite bas. Ln est appelée pour venir le chercher à l'église pendant que père et fils poursuivent la randonnée. Il est 15h30. il reste du chemin et il serait raisonnable d'arriver avant la nuit. La descente vers Deux Bras est avalée en moitié moins de temps que ne le mettrait un randonneur au pas sur. Comme son nom le laisse supposer, Deux Bras est le point de rencontre de La Rivière des Galets et de l'un de ses affluents. Quelques habitations silencieuse, aucune âme ne se montre.

La rivière des galets



Nous longeons et franchissons la rivière jusqu'au chemin montant vers Aurère. La pente n'est pas si rude mais la fatigue est là et il faut se presser. La lumière à mesure que nous montons s'estompe. Le haut des cimes se rougeoie.

Le gîte du Piton Cabri
La nuit est là, arrivée à Aurère et la lampe frontale se révèle utile sous les arbres du village. Le gîte nous attend, au pied du piton Cabris d'où il tire son nom. La chambre est propre, l'eau de la douche chaude bien que nous soyons les derniers à la prendre. Le dîner, créole, est classique sauf pour le dessert. Des pétales de tubercule frites et sucrées ; les autres convives locaux ne connaissent pas le nom de ce met. Après quatre ans, nous découvrons encore la cuisine réunionnaise. Nous dormons parfaitement...
Le programme du lendemain est plus digeste. Il s'agit d'aller au Cirque de Salazie par le sentier Scout. Nous traversons Îlet à Malheur, parfaitement entretenu.
L'îlet à Malheur







Avant de retrouver remparts vertigineux et points de vue magnifiques, l'ombre de la forêt rend la marche très agréable. Raoul se gave de goyaviers. Ln vient à notre rencontre pour la fin de notre randonnée.

 


 

L'outil de désenclavement de Mafate...au grand dam des puristes !



Piton Cabri

Mafate : vue vers l'ouest
 Le sentier débouche sur Salazie que l'on embrasse du regard entièrement. En face, de l'autre côté du cirque, la forêt de Bélouve, que nous avons décrite il y a quelques semaines. Nous situons maintenant correctement les points remarquables de l'île, il nous aura fallu quatre ans pour maîtriser la géographie locale.
Salazie du sentier Scout : vue vers le sud


Salazie du sentier Scout : vue vers l'est


mardi 6 août 2013

Menus travaux

La chambre est vaste et le bazar y était étalé en permanence au sol. La première compagnie a pris le taureau par les cornes.

De la matière première haut de gamme....

Un plan précis.....
















Un travail soigné....

Un résultat à peine moins bien ajusté que des meubles Fly et nettement plus solide...





















Un meuble correspondant à l'objectif attendu. Il y en a trois comme cela réalisé dans la journée, déjà tous plein !