Les jours sont courts, les températures ont baissé. Il pleut depuis dimanche tous les jours (nous sommes en saison sèche pourtant). Simon prépare son bac de français et de SVT, Raoul son brevet des collèges. Philippine et Gustave profitent de la fin d'année scolaire pour faire la fête.
Elle a commencé mercredi à l'école de Musique ou Philippine a interprété quatre chansons avec ses copines et copains de l'éveil musical devant les parents émus.
Elle s'est poursuivie ce samedi avec une grande représentation des élèves devant des parents moins émus et moins sages. Philippine a dansé le Jerk avec sa classe et Gustave a été multitâche : acteur dans une scènette théâtrale dont il était le personnage principal, danseur/chanteur sur un thème de High School Musical avec sa classe et à l'occasion présentateur des spectacles à venir. Une année scolaire se termine, une autre va comencer et nous espérons qu'elle débutera par notre emménagement dans notre nouvelle maison.
Les pérégrinations de la Famille David dans l'océan Indien ou comment après Mayotte vivre à La Réunion.
samedi 18 juin 2011
dimanche 12 juin 2011
Qu'est ce qui vaut de manquer Eric Triton et Camélia Jordana au festival Sakifo ?
Depuis vendredi et pour trois soirées des artistes nombreux se produisent au sud de l'île pour le plus grand festival de la Réunion : le "Safiko". Cette année, nous n'y allons pas malgré la présence de Camélia Jordana et de Eric Triton, deux idoles de la première compagnie.
Nous avions prévu depuis quelques semaines d'aller marcher du côté de Bebour-Bélouve.
Départ vendredi en milieu d'après-midi de Saint-Denis en auto, pour arriver avant la fin du jour au gîte. De la plaine des Palmistes, on traverse une forêt sur une vingtaine de kilomètres encerclée par les remparts vertigineux. et écrasée par les nuages bas. Nous arrivons juste à temps pour la dernière lumière dans le cirque de Salazie.
Le dîner en table d'hôte, cernée par des allemands, est un régal entre tarte au chou-chou, riz au grain, carry poulet et gâteau coco à la banane.
Le lendemain matin , nous sommes saisis par le froid dont la première compagnie a oublié la sensation depuis six ans. Moins de 10°c que le corps ne connaît plus ! Le lever du soleil est splendide dans le cirque et on découvre les hauteurs dont les noms commencent à nous devenir familiers : piton des neiges, roche écrite, piton marmite, cimendef...
Le petit déjeuner est avalé tranquillement alors que les randonneurs pressés quittent déjà les lieux. Notre programme est raisonnable. Il s'agit d'aller vers le pic des chèvres.
L'antenne TDF nous donne un autre point de vue plongeant sur Hell-Bourg dont on entend les bruits de la fête du chou-chou.
Nous avançons dans une forêt primaire. En dehors du chemin , impossible d'avancer tellement la végétation est dense. Ça et là, la troupe profite des points de vue jusqu'à ce que les nuages viennent ouater le paysage. La ballade est facile et les enfants donnent le rythme et discutent sans cesse de personnages fabuleux issus de dessins animés et de jeux-vidéos japonais. Passé le pic des chèvres, les passerelles et l'échelle, nous mangeons dans l'un des rares espaces ouverts rencontrés.
Nous sommes à près de 2000 mètres d'altitude dans une forêt étrange sans insecte dont les quelques sons des oiseaux sont absorbés par les mousses épaisses des arbres maintenant moins haut. On supporte la polaire puis le vêtement de pluie lorsque le nuage précipite ses gouttes. Le retour est agréable et une trouée nous permet de découvrir la plaine de Belouve.
Nous reprenons la voiture vers le chef-lieu et profitons à la maison avec nos amis d'un bon thé vert et de pâtisserie chocolatée pour nous requinquer.
Nous reviendrons, pour aller vers le trou de fer et surtout monter jusqu'au piton de neiges, sommet de la Réunion à plus de trois mille mètres. Nous l'avons prévu en octobre.
Nous avions prévu depuis quelques semaines d'aller marcher du côté de Bebour-Bélouve.
Départ vendredi en milieu d'après-midi de Saint-Denis en auto, pour arriver avant la fin du jour au gîte. De la plaine des Palmistes, on traverse une forêt sur une vingtaine de kilomètres encerclée par les remparts vertigineux. et écrasée par les nuages bas. Nous arrivons juste à temps pour la dernière lumière dans le cirque de Salazie.
Le dîner en table d'hôte, cernée par des allemands, est un régal entre tarte au chou-chou, riz au grain, carry poulet et gâteau coco à la banane.
Le lendemain matin , nous sommes saisis par le froid dont la première compagnie a oublié la sensation depuis six ans. Moins de 10°c que le corps ne connaît plus ! Le lever du soleil est splendide dans le cirque et on découvre les hauteurs dont les noms commencent à nous devenir familiers : piton des neiges, roche écrite, piton marmite, cimendef...
Le petit déjeuner est avalé tranquillement alors que les randonneurs pressés quittent déjà les lieux. Notre programme est raisonnable. Il s'agit d'aller vers le pic des chèvres.
L'antenne TDF nous donne un autre point de vue plongeant sur Hell-Bourg dont on entend les bruits de la fête du chou-chou.
Nous avançons dans une forêt primaire. En dehors du chemin , impossible d'avancer tellement la végétation est dense. Ça et là, la troupe profite des points de vue jusqu'à ce que les nuages viennent ouater le paysage. La ballade est facile et les enfants donnent le rythme et discutent sans cesse de personnages fabuleux issus de dessins animés et de jeux-vidéos japonais. Passé le pic des chèvres, les passerelles et l'échelle, nous mangeons dans l'un des rares espaces ouverts rencontrés.
Nous sommes à près de 2000 mètres d'altitude dans une forêt étrange sans insecte dont les quelques sons des oiseaux sont absorbés par les mousses épaisses des arbres maintenant moins haut. On supporte la polaire puis le vêtement de pluie lorsque le nuage précipite ses gouttes. Le retour est agréable et une trouée nous permet de découvrir la plaine de Belouve.
Nous reprenons la voiture vers le chef-lieu et profitons à la maison avec nos amis d'un bon thé vert et de pâtisserie chocolatée pour nous requinquer.
Nous reviendrons, pour aller vers le trou de fer et surtout monter jusqu'au piton de neiges, sommet de la Réunion à plus de trois mille mètres. Nous l'avons prévu en octobre.
jeudi 9 juin 2011
La première compagnie rempli ses journées de solitude lorsqu'il est à Mayotte par une consommation effrené du lagon de Mayotte. Durant le dernier séjour sur l'île aux parfums, il a alterné plongées, safari nautique et p.m.t. accompagné de son matériel photo.
Le 8 mai, depuis une plage isolée, il faut nager quelques centaines de mètres vers un îlot. Tout autour de lui, s'étalent les beautés coralliennes. Il suffit de palmer et d'admirer.
Le 9 mai au soir, après le labeur, une plongée de nuit, moments privilégiés pour les crustacés.
Le 8 mai, depuis une plage isolée, il faut nager quelques centaines de mètres vers un îlot. Tout autour de lui, s'étalent les beautés coralliennes. Il suffit de palmer et d'admirer.
Le 9 mai au soir, après le labeur, une plongée de nuit, moments privilégiés pour les crustacés.
Le 14 mai. Avec Seau Blue Safari, il part à la rencontre des mammifères marins et tombe sur le spectacle des sternes, frégates et dauphins chassant les mêmes poissons.
Enfin le 22 mai, plongées lointaine au sud de l'île. Une première plongée où la multitudes de poissons rivalise avec la taille des coraux. Puis un bac de dauphins rencontré en naviguant sur le site de la deuxième plongée. Et là comme une apothéose, raies de 4 espèces différentes, thazards, carangues, requins dagsit et requin léopard se sont montrés dans leurs éléments.
Ce lagon est fabuleux. Allez-y avant que le réchauffement climatique et la pollution des habitants Mayotte n'aient raison de lui.
lundi 6 juin 2011
Au pas de course !
En mai, les travaux se sont accélérés. Enduits extérieurs, gaines pour les fils électriques, trous pour le plombiers. Faux-plafonds et plâtres intérieurs. C'est rassurant après quelques semaines sur un faux rythme.
Il y a un hic, un gros hic. Profitant de l'échafaudage le long de la maison, le peintre a œuvré sur un mur...la couleur n'est pas la bonne. Il ne s'agit pas d'une différence d'un demi-ton. Non! on voit du mauve là où l'on devrait voir un bleu...
Au constructeur de gérer cela avec son sous-traitant.
S'il est plaisant de voir les travaux avancer, nous devons nous rendre à l'évidence : nous n'y serons pas pour la rentrée scolaire ! Et nous continuons à payer une fortune pour nous louer l'appartement.
Il y a un hic, un gros hic. Profitant de l'échafaudage le long de la maison, le peintre a œuvré sur un mur...la couleur n'est pas la bonne. Il ne s'agit pas d'une différence d'un demi-ton. Non! on voit du mauve là où l'on devrait voir un bleu...
Au constructeur de gérer cela avec son sous-traitant.
S'il est plaisant de voir les travaux avancer, nous devons nous rendre à l'évidence : nous n'y serons pas pour la rentrée scolaire ! Et nous continuons à payer une fortune pour nous louer l'appartement.
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