D'après Météo France, l'île de la Réunion est actuellement en saison sèche. En dehors des hauts (comprendre au delà de 1000 mètres d'altitude), il ne doit pas pleuvoir. Cela n'est pas le cas. Tout comme le vent de saison n'est pas vraiment là. Alors que les Alizés doivent souffler, on peut se balader sur le bord de mer sans gène et la mer est vraiment belle à admirer.
Il pleut donc régulièrement. Pas vraiment une pluie tropicale, plutôt un crachin normand. Il fait donc frais à Saint-Denis : 20-22°c la nuit et nous avons froid. Sur une île, le temps change vite et les micro-climats nombreux. Pluie, soleil, pluie, soleil, en quelques minutes. Tout se chamboule et voilà un bel arc-en-ciel qui apparait au balcon
Les pérégrinations de la Famille David dans l'océan Indien ou comment après Mayotte vivre à La Réunion.
jeudi 28 juin 2012
vendredi 22 juin 2012
Musiques en fête
Fin d'année veut dire spectacles pour les heureuses familles d'enfants scolarisés en primaires et aux multiples activités.
Pour commencer, il y a ceux de l'école de musique municipale Loulou Pitou. Pour mémoire, Philippine y a débuté l'enseignement de la flûte traversière et Gustave chante dans la chorale.
Philippine a joué dans un quatuor de débutantes trois chansons traditionnelles. Une réussite grâce à une bonne préparation et nous l'avons béni d'avoir choisi cet instrument plutôt que le violon ou l'alto qui sont un calvaire pour les oreilles lorsque les cordes sont frottées par l'archer d'un novice. Philippine peut jouer presque tous les jours à la maison, c'est même agréable à entendre.
Quant à Gustave, ils nous a régalé ainsi que toute la chorale. Il s'agissait d'une reprise d'une comédie musicale mettant en scène les fables de la Fontaine. Six chansons en ont été extraites et l'orchestre de Jazz a accompagné les chanteurs. Arrivés tard, nous étions au premier rang pour admirer notre fils. Il chante avec beaucoup d'enthousiasme et a eu le privilège d'un solo !
Devant tant de réussites et de plaisirs partagés, nous ne pouvions qu'accepter la réinscription de notre progéniture à l'école de musique avec une flûte neuve pour Philippine et une activité supplémentaire pour Gustave : le théâtre.
Pour commencer, il y a ceux de l'école de musique municipale Loulou Pitou. Pour mémoire, Philippine y a débuté l'enseignement de la flûte traversière et Gustave chante dans la chorale.
Philippine a joué dans un quatuor de débutantes trois chansons traditionnelles. Une réussite grâce à une bonne préparation et nous l'avons béni d'avoir choisi cet instrument plutôt que le violon ou l'alto qui sont un calvaire pour les oreilles lorsque les cordes sont frottées par l'archer d'un novice. Philippine peut jouer presque tous les jours à la maison, c'est même agréable à entendre.
Quant à Gustave, ils nous a régalé ainsi que toute la chorale. Il s'agissait d'une reprise d'une comédie musicale mettant en scène les fables de la Fontaine. Six chansons en ont été extraites et l'orchestre de Jazz a accompagné les chanteurs. Arrivés tard, nous étions au premier rang pour admirer notre fils. Il chante avec beaucoup d'enthousiasme et a eu le privilège d'un solo !
Devant tant de réussites et de plaisirs partagés, nous ne pouvions qu'accepter la réinscription de notre progéniture à l'école de musique avec une flûte neuve pour Philippine et une activité supplémentaire pour Gustave : le théâtre.
dimanche 17 juin 2012
Pour qui voter (2) ?
Même question que la semaine dernière pour les métropolitains de La Réunion. Quoique la campagne a permis de mieux connaître les deux candidates en lice pour le deuxième tour.
Car c'est un privilège de la première circonscription : nous avons a choisir entre deux femmes. L'île Bourbon en avance sur son temps, exemple à suivre, précurseur des bonnes habitudes politiques !
Toute la semaine, nous avons entendu les camions sono et plus ou moins dans le lointain, les meetings de quartier. La campagne a été intense, Nassimah Dindar et Ericka Bareigts sont dotées de moyens importants pour la mener.
Dans les dernières heures, nous avons vu fleurir sur les murs voisins des affiches sauvages pour le moins intéressantes. Un A3 signé Daniel Zaidani, le président du Conseil Général de Mayotte, appelle la communauté Mahoraise à voter Nassimah Dindar. Ce manifeste est peut-être un faux. Plus étrange encore est l'affichette anonyme qui invite, en gros caractères, les musulmans à voter blanc plutôt que de voter pour une candidate contre l'autre qui est musulmane. Dans les deux cas, on veut faire jouer le vote communautaire. Cela peut paraître choquant.. N'oublions que La Réunion n'est pas qu'un mélange mais aussi une juxtaposition de communautés d'origine variée qui ont successivement peuplée l'île avec de nombreuses pratiques de la foi différentes. Chacun revendique son appartenance à son groupe et pratique sa religion ouvertement. Cela fonctionne parce qu'il y a une vraie tolérance mutuelle qui est rarement prise en défaut. C'est pourquoi les affichettes ont été rapidement arrachées des murs par d'autres musulmans sans doute qui défendent avant tout La Réunion pour ce qu'elle est ou simplement la propreté de leur mur.
En attendant, il faut glisser le bulletin dans l'urne. D'un côté, l'actuelle Présidente du conseil général qui siège grâce à une alliance précaire et veut sans doute assurer la continuation de sa carrière politique en la prolongeant au Palais Bourbon. D'un autre, la bru du maire de Saint-Denis, elle même au conseil municipal de la ville, moins charismatique que sa rivale. Cette dernière a créé la surprise de ce scrutin en arrivant largement en tête au premier tour, surement sur la dynamique de Hollande, devant la candidate du centre qui souffle de quelques voix la qualification au deuxième tour au candidat UMP. Personne n'ose se prononcer sur le report des voix de la droite sur Nassimah Dindar et la candidate socialiste a donc un boulevard devant elle.
Car c'est un privilège de la première circonscription : nous avons a choisir entre deux femmes. L'île Bourbon en avance sur son temps, exemple à suivre, précurseur des bonnes habitudes politiques !
Toute la semaine, nous avons entendu les camions sono et plus ou moins dans le lointain, les meetings de quartier. La campagne a été intense, Nassimah Dindar et Ericka Bareigts sont dotées de moyens importants pour la mener.
Dans les dernières heures, nous avons vu fleurir sur les murs voisins des affiches sauvages pour le moins intéressantes. Un A3 signé Daniel Zaidani, le président du Conseil Général de Mayotte, appelle la communauté Mahoraise à voter Nassimah Dindar. Ce manifeste est peut-être un faux. Plus étrange encore est l'affichette anonyme qui invite, en gros caractères, les musulmans à voter blanc plutôt que de voter pour une candidate contre l'autre qui est musulmane. Dans les deux cas, on veut faire jouer le vote communautaire. Cela peut paraître choquant.. N'oublions que La Réunion n'est pas qu'un mélange mais aussi une juxtaposition de communautés d'origine variée qui ont successivement peuplée l'île avec de nombreuses pratiques de la foi différentes. Chacun revendique son appartenance à son groupe et pratique sa religion ouvertement. Cela fonctionne parce qu'il y a une vraie tolérance mutuelle qui est rarement prise en défaut. C'est pourquoi les affichettes ont été rapidement arrachées des murs par d'autres musulmans sans doute qui défendent avant tout La Réunion pour ce qu'elle est ou simplement la propreté de leur mur.
En attendant, il faut glisser le bulletin dans l'urne. D'un côté, l'actuelle Présidente du conseil général qui siège grâce à une alliance précaire et veut sans doute assurer la continuation de sa carrière politique en la prolongeant au Palais Bourbon. D'un autre, la bru du maire de Saint-Denis, elle même au conseil municipal de la ville, moins charismatique que sa rivale. Cette dernière a créé la surprise de ce scrutin en arrivant largement en tête au premier tour, surement sur la dynamique de Hollande, devant la candidate du centre qui souffle de quelques voix la qualification au deuxième tour au candidat UMP. Personne n'ose se prononcer sur le report des voix de la droite sur Nassimah Dindar et la candidate socialiste a donc un boulevard devant elle.
mardi 12 juin 2012
Arbre fleuri
L'arbre récemment planté au centre de notre terrasse à l'arrière de la maison commence à donner de vraies satisfactions.
Il pousse vaillamment. Nous avons eu peur. Quelques temps après avoir été planté en saison des pluies, il avait perdu toutes ses feuilles et nous avons craint qu'il ne fut mort. Ses branches ont grandi et les feuilles sont revenues plus vertes encore.
Surtout depuis quelques jours, il offre de jolies fleurs mauves. D'abord une, puis maintenant cinq et bientôt deux dizaines. Elles colorent agréablement notre environnement.
Il faudra quelques mois avant qu'il ne remplisse la mission pour laquelle il a été planté là : fournir de l'ombre à ceux qui voudraient prendre l'air sur la belle terrasse.
Il pousse vaillamment. Nous avons eu peur. Quelques temps après avoir été planté en saison des pluies, il avait perdu toutes ses feuilles et nous avons craint qu'il ne fut mort. Ses branches ont grandi et les feuilles sont revenues plus vertes encore.
Surtout depuis quelques jours, il offre de jolies fleurs mauves. D'abord une, puis maintenant cinq et bientôt deux dizaines. Elles colorent agréablement notre environnement.
Il faudra quelques mois avant qu'il ne remplisse la mission pour laquelle il a été planté là : fournir de l'ombre à ceux qui voudraient prendre l'air sur la belle terrasse.
vendredi 8 juin 2012
Pour qui voter ?
Une des difficultés pour le métropolitain en goguette dans les magnifiques territoires français d'outre-mer est de savoir quel bulletin glisser dans l'enveloppe pour les élections locales.
Plusieurs attitudes coexistent. L'une, la plus simple, est de considérer que l'on est que de passage, de ne pas s’intéresser aux candidats et de ne pas s'inscrire sur les listes électorales de sa ville d'adoption. Une autre est de considérer que le vote démocratique est si important qu'il est moralement indigne de ne pas voter. On glisse alors un bulletin au hasard, plus ou moins en fonction de ses affinités politiques sans connaître le candidat. La dernière est de tenter de comprendre la politique locale pour voter avec conviction.
La tache est ardue ! Il y avait la barrière de la langue à Mayotte, elle existe aussi à La Réunion. Nous ne maîtrisons pas le Créole et les discours nous sont difficiles à comprendre. La presse se fait largement l'écho de la campagne, on y découvre les subtilités de la politique réunionnaise. Les personnes, on devrait dire les personnages, sont plus importantes que les partis qu'ils représentent. Dans certaines circonscription, les investitures ont donné lieu à des combats dans les partis sur fond de rancœurs passées. Le PCR devrait d'ailleurs payer chèrement son incapacité à calmer les velléités à la fonction de député. Une autre particularité est l'utilisation de camions sono qui sillonnent les artères des villes crachant slogans et jingles. Cet outil de campagne électorale a donné lieu à un combat judiciaire entre le maire d'une ville qui a signé un arrêté municipal interdisant les bruyants véhicules et un candidat à la députation. Bien entendu l'un et l'autre ne sont pas du même bord politique. Les invectives entre candidats sont nombreuses et les procès en diffamation font la fortune des avocats. Imaginer que ce qui se passe entre Mélenchon et Le Pen à Henin-Beaumont en termes de mots doux est le quotidien dans les sept circonscriptions de l'île sauf peut-être à Saint-Denis.
Nous votons dans la 1ère circonscription. Onze candidats sont en lice. Tous ont des suppléants de sexe opposés. Nous sommes bien meilleurs que la métropole puisque sept candidates se présentent dont deux ont de très fortes chances de passer le premier tour ! Du point de vue politique, nous retrouvons une configuration quasi métropolitaine :
- une candidate FN, look bourgeoise de Versailles, qui n'a aucune chance de perturber la droite républicaine locale pour le deuxième tour;
- un candidat vert, anecdotique vu le peu d'impact des thèses écologistes dans la culture Réunionnaise;
- une doctoresse sans étiquette et bardé de diplômes récents (un master, un master 2, un master de science po, un DESS !) qui cherche probablement à capter le vote communautaire Malbare;
- une candidate PS officielle, belle-fille du maire de Saint-Denis qui créé la surprise dans les sondages;
- un candidat PS dissident;
- un candidat PCR, un Vergès qui tente de se faire un prénom;
- une candidate Lutte Ouvrière, un candidat Front de Gauche, une candidate sans étiquette mais au programme radicalement à gauche qui nous confirment que les extrêmes se dispersent à mesure qu'ils s'éloignent du centre;
- un candidat UMP et une candidate Modem (présidente en titre du Conseil Général) arrivés respectivement deuxième et troisième dans les sondages qui tentent de se ménager pour ne compromettre pas un désistement au deuxième tour tout en marquant leurs différences pour tenter de convaincre les électeurs de les placer l'un ou l'autre en position de lutter pour le fauteuil de député.
Si l'affichage sauvage est contenu dans la ville, les autocollants pullulent en particulier ceux de la candidate du centre et principale adversaire de la candidate PS. Les services municipaux (on vous rappelle que c'est le beau-père de cette dernière qui est maire) deviennent des zélés nettoyeurs de mobiliers urbains !
Tout cela ne nous aide finalement guère à apprécier les uns et les autres pour l'intérêt de La Réunion...à moins que l'enjeu national l'emporte et que nous votions simplement pour donner ou non une majorité au nouveau Président.
Plusieurs attitudes coexistent. L'une, la plus simple, est de considérer que l'on est que de passage, de ne pas s’intéresser aux candidats et de ne pas s'inscrire sur les listes électorales de sa ville d'adoption. Une autre est de considérer que le vote démocratique est si important qu'il est moralement indigne de ne pas voter. On glisse alors un bulletin au hasard, plus ou moins en fonction de ses affinités politiques sans connaître le candidat. La dernière est de tenter de comprendre la politique locale pour voter avec conviction.
La tache est ardue ! Il y avait la barrière de la langue à Mayotte, elle existe aussi à La Réunion. Nous ne maîtrisons pas le Créole et les discours nous sont difficiles à comprendre. La presse se fait largement l'écho de la campagne, on y découvre les subtilités de la politique réunionnaise. Les personnes, on devrait dire les personnages, sont plus importantes que les partis qu'ils représentent. Dans certaines circonscription, les investitures ont donné lieu à des combats dans les partis sur fond de rancœurs passées. Le PCR devrait d'ailleurs payer chèrement son incapacité à calmer les velléités à la fonction de député. Une autre particularité est l'utilisation de camions sono qui sillonnent les artères des villes crachant slogans et jingles. Cet outil de campagne électorale a donné lieu à un combat judiciaire entre le maire d'une ville qui a signé un arrêté municipal interdisant les bruyants véhicules et un candidat à la députation. Bien entendu l'un et l'autre ne sont pas du même bord politique. Les invectives entre candidats sont nombreuses et les procès en diffamation font la fortune des avocats. Imaginer que ce qui se passe entre Mélenchon et Le Pen à Henin-Beaumont en termes de mots doux est le quotidien dans les sept circonscriptions de l'île sauf peut-être à Saint-Denis.
Nous votons dans la 1ère circonscription. Onze candidats sont en lice. Tous ont des suppléants de sexe opposés. Nous sommes bien meilleurs que la métropole puisque sept candidates se présentent dont deux ont de très fortes chances de passer le premier tour ! Du point de vue politique, nous retrouvons une configuration quasi métropolitaine :
- une candidate FN, look bourgeoise de Versailles, qui n'a aucune chance de perturber la droite républicaine locale pour le deuxième tour;
- un candidat vert, anecdotique vu le peu d'impact des thèses écologistes dans la culture Réunionnaise;
- une doctoresse sans étiquette et bardé de diplômes récents (un master, un master 2, un master de science po, un DESS !) qui cherche probablement à capter le vote communautaire Malbare;
- une candidate PS officielle, belle-fille du maire de Saint-Denis qui créé la surprise dans les sondages;
- un candidat PS dissident;
- un candidat PCR, un Vergès qui tente de se faire un prénom;
- une candidate Lutte Ouvrière, un candidat Front de Gauche, une candidate sans étiquette mais au programme radicalement à gauche qui nous confirment que les extrêmes se dispersent à mesure qu'ils s'éloignent du centre;
- un candidat UMP et une candidate Modem (présidente en titre du Conseil Général) arrivés respectivement deuxième et troisième dans les sondages qui tentent de se ménager pour ne compromettre pas un désistement au deuxième tour tout en marquant leurs différences pour tenter de convaincre les électeurs de les placer l'un ou l'autre en position de lutter pour le fauteuil de député.
Si l'affichage sauvage est contenu dans la ville, les autocollants pullulent en particulier ceux de la candidate du centre et principale adversaire de la candidate PS. Les services municipaux (on vous rappelle que c'est le beau-père de cette dernière qui est maire) deviennent des zélés nettoyeurs de mobiliers urbains !
Tout cela ne nous aide finalement guère à apprécier les uns et les autres pour l'intérêt de La Réunion...à moins que l'enjeu national l'emporte et que nous votions simplement pour donner ou non une majorité au nouveau Président.
dimanche 3 juin 2012
C'est SAKIFO !
Après l'est, le sud. Depuis vendredi et jusqu'à ce soir, le plus grand festival de musique de La Réunion se déroule à Saint-Pierre. Sur le front de mer, cinq scènes de taille variable offrent à divers artistes invités du monde entier l'occasion de ravir les habitants de l"île Bourbon.
La moitié de la famille assiste au spectacle. Vendredi, les parents se sont rajeunis de vingt ans. Ils ont fait le chemin jusqu'à la capitale du sud. Après un sandwich bouchons et un coca, ils ont commencé en début de soirée par un groupe local au nom à peine prétentieux de Yaourt Soul Experience qui chante les tubes de la Motown. Quinze musiciens et chanteurs ont chauffé l'ambiance à l'entrée du site. Les vieux parents on ensuite traversé le festival pour se placer au premier rang de la grande scène. Ils ont patienté une heure comme des groupies excitées. Puis la grande dame est apparue. Pendant une heure quinze, Catherine Ringer à enchanté les sept mille personnes dont une majorité de quarantenaire : reprise de tubes des Rita Mitsouko et chansons de son premier album solo, le tout sur des arrangements rock et accompagné de son plus jeune fils à la guitare.
Le concert à peine terminé, il fallait foncer vers une autre scène. Desservi par un son bouillabaisse que le technicien indolent à mis trois chansons à tout juste arranger, Julien Doré à fait le show entre humour décalé et univers musical sombre.
Pour finir la soirée, Earth, Wind ans Fire ont montré qu'ils avaient bien vieilli. Leurs tubes restent des monuments de la funk musik.
L’intérêt du festival tient dans le large spectre musical offert aux spectateurs. C'est pourquoi Raoul tanne ses parents pour y aller voir Orelsan ce qu'ils ont finalement accepté. Pas question d'y aller avec les anciens (qui de toutes les façons n’avaient pas envie d'écouter les paroles sulfureuses du rappeur à la mode chez les jeunes). Il y est parti avec un ami ce dimanche.
Nous lui souhaitons de prendre autant de plaisir que nous ! Vivement la programmation de l'an prochain.
Inscription à :
Articles (Atom)